
Me suis fais laver comme pas possible, à 110 ça pardonne pas, l'eau traverse le blouson, les gants, les bottes


Donc 200 km sous ce temps avec des petites éclaircies, de l'orage, du vent (bien évidemment) et à mon grand étonnement, d'autres aussi tarés que moi visiblement qui avaient sortis les motos aussi

Le passage le plus marrant de cette journée c'est quand j'ai "essoré" les gants, j'aurais presque plus remplir une bouteille

Sinon, bien rentré, sans soucis, la moto bien sale, (j'avais passé un coup de polish la veille

